dimanche 19 février 2012

A First Attempt to Use “Zhineng” Qigong to Reform Criminals




A First Attempt to Use “Zhineng” Qigong to Reform Criminals


Billet de Marc-Antoine Arel


En janvier 1989, une expérience, sous l’égide du maître de Qigong Zhang Chuanming, tente d’évaluer les effets de la pratique du Qigong sur le rétablissement de criminels. L’étude fut conduite sur deux groupes de prisonniers constitués de 50 à 100 individus pour une durée de 10 à 15 jours. Les résultats furent surprenants et concluants. 
Le texte nous partage une vision très optimiste de la pratique du Qigong sur la condition physique et mentale des prisonniers, mais également de la société en générale.  Pour être considéré comme neutre, ce texte exigerait davantage d’objectivité. Qui plus est, aucune donnée écrite n’a été conservée suite aux expériences. Ainsi, l’emphase du texte est mise sur les bienfaits du Qigong, et de son acceptation de plus en plus généralisé. 

Aucun sujet ne fut forcé de participer aux expériences, et le mot d’ordre au cours de cette étude fut la prudence. Par la suite, on y discute les raisons de choisir de “Zhineng”  comme pratique du Qigong. Cette méthode est efficace, car elle est facile à apprendre et peut être utilisée dans des espaces restreints comme la cellule d’une prison.  Encore une fois, on nous répète les bienfaits et les résultats extraordinaires découlant de cette expérience, et qu’elle serait bénéfique pour l’ensemble de la réforme du système carcéral et encore plus. 
Le choix des sujets n’est également pas aléatoire, et certains critères sont établis. Il est intéressant de constater que les gens ayant des problèmes de santé mentale ne sont pas acceptés, car ceux-ci tendent à mal réagir sous l’influence du Qigong, et deviennent «possédés» et «déséquilibrés». L’intensité, soit plus de 10 heures par jours, à l’entrainement du Qigong, compte pour beaucoup dans le succès de cette étude. Ce temps étant divisé entre l’étude pratique et théorique du Qigong. 
Les résultats, comme déjà mentionné, sont spectaculaires et positifs, la santé mentale et physique des prisonniers s’étant fortement améliorée. Finalement, le texte conclut que le Qigong peut être utilisé comme un outil éducatif dans le rétablissement des criminels. Il améliore la santé des individus, et peut être bénéfique pour modifier des comportements jugés inadéquats. 

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